26 Mars 2025
C'est en ce dimanche glacial du 16 mars, qu'un nouveau périple débute.
Après neuf jours de préparation, plus ou moins assidues en France, nous voici à la gare de Rodez en direction de Paris, s'en suivra le lendemain, l'avion en direction du Japon 🇯🇵 et plus précisément Tokyo et tout ceci en sac à dos, une première pour nous !
Alors pourquoi le Japon ? Pour ses cerisiers en fleurs, pardi...En plus, c'est pile la période comme par hasard, mais pas que, car en préparant ce périple on s'est aperçu qu'on pourrait y passer un certain temps 😁.
Donc, sans aucune idée de date retour, il nous faut obligatoirement un vrai faux billet d'avion retour, car ils ne nous laisseront pas partir de Paris sans celui-ci.
Aller c'est PARTI....
Le Japon compte 125 millions d'habitants.
Grand environ comme l'Allemagne.
Parlent très peu l'anglais, comme nous 😁.
Sa monnaie est le Yen, 1 euro pour 162 yens.
Sa capitale est Tokyo.
Le salaire moyen est de 2500 euros.
Tokyo et sa banlieue est la ville la plus peuplée au monde, avec 41 millions d'habitants.
Pour arriver à notre chambre à Tokyo depuis Aboul, pas moins de dix changements et divers moyens de locomotions. Partis dimanche matin à 8 heures, arrivés mardi soir à 19 heure (heure locale), complètement lessivés, avec 8 heures de décalage horaire dans la tête !
Le plus dur aura été de trouver notre train, le métro et la carte d'abonnement pour aller jusqu'à la piaule. Cet aéroport est mega gigantesque, une ville à lui tout seul. Bien qu'écrit en anglais, le système de train de banlieue et de métro n'est pas évident à apprivoiser pour nous, Aveyronnais campagnard 😁, quatre heures au lieu d'une heure trente, mais on fini toujours par y arriver...
Le lendemain, ayant bien chopé les crèves en France, journée découverte tranquillou du quartier. On est trop bien, personne nous reluque, c'est calme, c'est Zen, les maisons et les voitures ont une échelle inférieure à la notre, c'est bizarre tout est plus petit !
Nous qui n'aimons pas les grandes villes, celle là est la plus grandes au monde !
41 millions d'habitants avec sa banlieue, et bien bizarrement on s'y sent pas mal du tout.
On va passer six jours à la visiter dans tous les sens, des quartiers bondés comme le fameux carrefour et son passage piéton où il y passe 2 millions de personnes quotidiennement (un record), aux endroits plus calmes.
Cette quiétude, on la doit aux habitants eux même, pas un regard de travers, du calme dans le métro, les rues, les boutiques, des toilettes publiques toujours nickels, pas un papier par terre, on fait la queue sagement et en ordre en attendant le métro, pas un tag, etc...un seul mot règne ici, le Respect ! On adhère à fond.
Le dimanche, la célèbre aire de repos de l'autoroute de Daikoku se transforme en immense parc pour passionnés d'automobiles en tous genre, on y est resté de 11 heure du matin à 21 heures, un regal pour les yeux, et toujours dans le respect des utilisateurs de l'aire de service, pas de sono, pas de rupteurs.
Il nous a fallu louer une voiture pour l'occasion, aucun bus ou train n'arrive ici, 45 euros la journée.
Voiture automatique volant à droite, car au Japon on roule à gauche !
On a pris trois fois l'autoroute par mégarde, l'agent nous avait dit "pas l'ETC", tu parle, les nuls sont de sortie, heureusement les japonnais sont sympas, enfin, on ne comprend rien, mais ça à l'air amical, deux trois gestes on sort la carte de crédit et c'est arrangé 😁. Les erreurs nous ont coûté 36 euros quand même !
Cette tour de radiodiffusion, construite entre 2008 et 2012 d'une hauteur de 634 mètres se visite à 350 et 450 mètres.
On ira jusqu'à 350 mètres, largement suffisant vu la brume au loin, le mont fuji est évidemment invisible, dommage...
Tokyo vu d'en haut n'impressionne pas vraiment si on compare à New-York (Manhattan), détruite de moitié pendant la seconde guerre mondiale par les bombardements américain.
Ainsi s'achève cette première semaine remarquable à Tokyo.
On s'adapte petit à petit à cette nouvelle façon de voyager en se posant deux, trois ou quatre jours dans un même lieu pour éviter de traîner le gros sac. La nourriture, on l'a découvre, souvent à base de riz ou de pâte avec différents accompagnements, mais les légumes sont rares !
On passe pas mal de temps dans les transports, pas le choix....
Direction Kyoto à 500 kilomètres de là, en bus de nuit plutôt classique et pas très confortable. Bon on économise une nuit d'hôtel, mais de là à bien dormir.... Faudra rattraper ça les nuits suivantes.
A plus.